C'est un Belge d'origine Flamande (neerlandophone) qui rend visite à un ami français. Au cour de l'apéro, une mouche se pose sur le bord du verre du Belge. Celui-ci ajoute :" Tiens, il y a UN mouche !". Le français, voulant parfaire les efforts linguistiques dans la langue de Molière à son ami, le reprend : "Tu veux dire UNE mouche !" et l'autre répond : "t'as UN bon vu !"
Un Allemand arrive à Roissy-Charles De Gaulle. Le douanier : " Nom ?" Le touriste : " Bestagenbertkeschtadt" Le douanier : " prénom ?" Le touriste : "Dieter" Le douanier : " Sexe ? " Le touriste : " Male " le douanier : " Occupation ?" le touriste : " non, vacances "
Dernière édition par Kollaps le Mar 19 Juin 2012 - 0:12, édité 1 fois
Dans une tante sur un front, Napoléon a réuni ses généraux. La carte du champ de bataille est dressée telle une nappe sur la table. A deux pas, on entend les boulets de cannons Anglais tomber et ramasser la garde impériale devant le QG de fortune. Napoléon et les généraux ne remarquent pas l'hécatombe les entourant, absorbés par une éventuelle stratégie qui les sortira de ce mauvais pas. Cependant, un élément vient perturber leur réflexion : "un moustique"... L'empereur éprit d'une soudaine rage, sort le sabre de son fourreau et frappe! Mais l'insecte vole et le son aigu que ses ailes diffusent reste persistant. Bien sûr cela commence à amuser les généraux. Mais Napoléon avec tout l'aplomb légendaire qui le poursuit et quelque peu poussé par sa mégalomanie narcissique (qui le poursuivent aussi) asséna à ses généraux : "Messieurs, celui-ci ne bandera plus !"
Dernière édition par Kollaps le Mar 19 Juin 2012 - 0:13, édité 1 fois
Un énarque sur une petite route vicinale de corse se trouve coincé à l'intérieur de sa voiture, entouré d'un troupeau de mouton. Apercevant le berger, il s'exclame : "dite moi, mon brave, si je vous donne le nombre exact de mouton que vous possédez dans ce troupeau, m'accorderiez-vous le droit de vous en prendre un ?" " Et cotolé qu'il l'a dit ? ben pour sûr tein j'voudrai ben voir comment que le cravateux s'en va se débrouiller !!" Le berger crache dans sa main et la tend au fonctionnaire. (Beurk! se dit il) et fit de même. Après s'être longuement essuyé la main contre le revers de sa cravate, il empoigne sa calculatrice et s'engouffre dans une série de formule. " Donc, nous avons ln de a² moins racine de 2/7ième sur la distance du soleil exposant -138645 soustrait à une intégrale S(-1+(infini)...." Au bout de 3/4h : "ça fait 847 moutons !!! "Et ben, Fi de Putain, ma parole n'étant qu'une, servez-vous" L'énarque sort de la voiture et saisi l'animal qu'il s'apprête à enfourner dans le coffre de son véhicule. Le berger lui dit alors :"Dites-moi, si j'parvens à dviner et cotolé qu'tu fais comme métier, tu me rends ma bestiole?" "Pour sûr, oui, je suis joueur et n'ai qu'une seule parole aussi!" "Ben, je pense que tu es fonctionnaire, un très haut fonctionnaire, tu es Enarque." L'énarque, un peu flatté en pensant que sa fonction transparait assez pour le devancer afin qu'il soit remarqué, anime joyeusement sa fierté. Attendant alors une flatterie, il demande au berger : "Mais, comment avez-vous deviné ?! " "Bon, je peux l'reprendre mon chien ? " "
St Pierre à la porte du paradis, consulte son registre des entrées tout à son habitude. A un moment, un vieux monsieur se présente à la grille du jardin d'Éden. Il est vêtu d'une toge et a une barbe blanche assez longue. St pierre le fixe droit dans les yeux. Il lui semble le connaitre. D'un seul coup c'est la révélation. " Quel métier exerciez vous avant d'être rappelé à votre créateur ?" " J'étais menuisier" -"C'est lui!!!" St Pierre saute de joie, demande au vieillard de l'attendre et part en courant. Il parcoure le paradis en appelant à en perdre la voix : "Jesus!!!! Jesus!!!!! T'es ou?!!!! Jesus!!!!" Je suis là, qu'est-ce que tu me veux ? Essoufflé St Pierre lui dit : "Sacré nom de "bip" (pas le droit de blasphémer ici ) ça fait une heure que je te cherche, ton père, heu, d'adoption, enfin, tu vois quoi, il est aux grilles de l'entrée. "C'est pas vrai, JOSEPH ???!!!" Et Jesus court, court, à en perdre haleine (bon pour lui ok, c'est pas possible, il ne peut pas être fatigué :-) ). Il aperçoit le vieux monsieur et crie : "Papa, Papa!!!" Et le vieillard jetant sa cane, se met à courir aussi (enfin, comme il peut) en criant : "Pinnochio, Pinnochio!!!"
Un homme sur un trottoir, remarque près de lui, un homme aveugle accompagné de son Labrador s'apprêtant à traverser... Le petit bonhomme est au rouge le chien maintien sa position assise pour empêcher son maitre de traverser. Le petit bonhomme passe au vert. Le chien ne bouge pas. Le bonhomme repasse au rouge, repasse au vert, et cela à plusieurs reprises. L'homme témoin de cette scène s'approche du non voyant et balance le chien. "ça fait un petit moment que j'observe votre chien, et à plusieurs reprises le bonhomme est passé au vert, mais il ne vous a pas fait traverser!" L'aveugle dit alors :" merci beaucoup monsieur" et il plonge alors sa main dans sa poche. Il en retire un morceau de sucre, qu'il donne au chien. -"Mais je ne comprends pas, je viens de vous dire que votre chien fait une connerie et vous le récompensez..." -"Ben oui, faut bien que je sache où est la tête pour lui ficher mon pied au cul!"
Politique quotes : Clémenceau a dit (véridique) : "pour prendre une décision, le nombre de participant doit être impair, et il ne faut pas être plus de deux.
Deux Français se font accoster par un touriste Allemand : - Sprechen Zie deutsch ? Les français ont vraiment l'air de ne pas comprendre... Alors, l'Allemand essaie autrement. - Abla espanol ? Manifestement non...l'Allemand ne perdant pas espoir... - Do you speaking english ? Toujours pas...en Hollandais peut-être Spraak U Deutch ? Et ben non plus. Alors l'Allemand lâche l'affaire en les remerciant. Un français dit à l'autre - ça serait bien qu'on fasse des efforts et qu'on se mette à parler d'autres langues. L'autre : - Pourquoi faire? ce type en parlait 4 et ça ne lui a servit à rien.
Un ventriloque tombe en panne de voiture en pleine campagne. Pas de réseau, pas possible d'utiliser son HTC . Il aperçoit au loin une ferme et décide d'y aller pour éventuellement passer un coup de fil. Il arrive dans la cour, le paysan vient l'accueillir. - Bonjour mon brave monsieur, qu'est-ce qui vous amène par ici? - Et bien je suis tombé en panne. - Ho ben ça me fait plaisir de voir du monde, je vis seul ici avec mes bêtes, alors vous pensez, je n'ai pas trop l'occasion de parler. -Ah ben oui je comprends...Mais vous ne parlez pas à vos animaux? - Si bien sûr, mais elles ne comprennent pas, et combien même elles me comprendraientt, elles ne me répondraient pas. - Ha bon? , dit le ventriloque en se disant qu'il vient de ferrer une proie facile et s'apprête donc à lui faire prendre le bateau avec un billet de 1ère classe... - Ben je suis sûr qu'elles sont loquaces vos bestiole, c'est que vous ne savez pas vous y prendre. Tenez, regardez. Il s'approche alors de la vache et lui dit : - Avec qui fais-tu l'amour? Utilisant son talent de ventriloque il fait parler la vache. - MEUHHHH, avec le taureau. Le fermier est estomaqué... le ventriloque recommence et s'approche d'une truie. - Et toi, avec qui fais-tu l'amour? -Gronfff gronfff , je fais l'amour avec le cochon. Là, le paysan est scié. -Mais, mais je ne comprends pas, elles savent toutes parler alors, mais comment ça se fait, je ne m'en suis jamais rendu compte... -Ce n'est pas bien compliqué, je vais vous apprendre. -Ho ben volontiers, tiens, venez donc jusqu'à la maison qu'on en parle autour d'un verre. Le ventriloque accepte. En se dirigeant vers la maison, ils passent devant une chèvre, le ventriloque saisit le fermier par le bras et lui dit : -Tenez, on va lui demander à elle. - Non, non, surtout pas, elle ne raconte que des conneries.
Dernière édition par Kollaps le Mer 20 Juin 2012 - 21:56, édité 1 fois
Re: Les Brèves de ComptoirLun 11 Juin 2012 - 19:15
Et cotolé qu'il l'a dit ? ben pour sûr tein j'voudrai ben voir comment que le cravateux s'en va se débrouiller !!" Le berger crache dans sa main et la tend au fonctionnaire. (Beurk! se dit il) et fit de même. Après s'être longuement essuyé la main contre le revers de sa cravate, il empoigne sa calculatrice et s'engouffre dans une série de formule. " Donc, nous avons ln de a² moins racine de 2/7ième sur la distance du soleil exposant -138645 soustrait à une intégrale S(-1+(infini)...." Au bout de 3/4h : "ça fait 847 moutons !!!
Quelle justesse, c'est ce que je me disais tout à l'heure !!!!!!! 
